La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1438)

La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode précédent 1437) -

La soirée ne faisait que commencer... Tandis que l'excitation qui m'avait gagné lors de cet humiliant attouchement s'estompait lentement, peu à peu, je devinais malgré ma vision si limitée par les œillères, que les domestiques avaient disparu, ne laissant dans la vaste salle de bal que Les Supérieurs (es) et Leurs esclaves. Je ne doutais pas un instant que cette nouvelle configuration allait entraîner également une montée en puissance du sort réservé aux esclaves. Le brouhaha des conversations confirmait les pensées qui m'agitaient en ces instants. Les voix se faisaient plus fortes, et si le détail des mots m'échappait, ce sont bien des Exigences qui fusaient et non des conversations qui s'égrainaient. Une boule d'appréhension gonflait au creux de ma poitrine de peur de ne pas être à la hauteur de ma servitude. En effet, je manquais encore d'expérience et rien ne me laissait supposer que Maître pourrait s'occuper de moi. Manifestement, les esclaves étaient ici mis à la disposition de Tous, pour que Chacune et Chacun puissent en user et r à Leur Guise, au gré de Leurs pulsions Dominantes et des plus perverses imaginations... J'ignorais donc tout de ce qui m'attendait, mais je ne doutais pas que je ne tarderai pas à être sollicité assez vite dans la soirée...

Rapidement, en effet, il se confirmait que cette Soirée avait changé d'ambiance. Finies les conversations feutrées et les échanges délicats en effleurant une croupe nue ou un sein ferme, en frôlant un sexe dressé, une vulve lisse... Cette fois, les actes devenaient beaucoup plus directs, bien plus "engagés", entreprenants. Ainsi, depuis mon immobilité servile, je pouvais voir des esclaves, mâles et femelles, contraints de s'agenouiller pour recevoir des membres virils qui s'enfonçaient sans retenue pour des gorges profondes, des martinets et des cravaches cinglant des poitrines, des croupes, des dos.

... Mais aussi sur des tables basses, des esclaves femelles et mâles étaient également placés en position d'offrande, se faisant pénétrer, posséder sans ménagement par des Dominants mais aussi par des Dominantes exhibant d'impressionnants godes-ceinture !

Donc jusque-là, Nul n'avait encore décidé d'user de moi... mais voyant la frénésie qui commençait à s'emparer de la salle et comme déjà supposé, je ne doutais pas un instant que mon tour allait venir. Et bien sûr, il vint ! Comme je le craignais, ce fut encore la jeune Maîtresse aux ongles si durs qui s'approcha de la petite vermine que je suis. Elle souriait avec une évidente perversité exprimée et en me fixant, imitant la démarche hésitante de Celle qui n'a pas encore pris de ferme décision. Mais ce n'était là qu'une attitude cruelle, car de sa démarche chaloupée, elle ne dévia pas jusqu'à se tenir tout près de moi. Cette fois, je sentis ses ongles se poser comme les griffes d'un prédateur cruel, sur ma poitrine nue et descendre lentement, laissant sur la chair un sillage brûlant... La jeune Dominante eut un sourire

- Tu peux gémir, esclave... il n'est plus temps de se retenir, car les digues de la bienséance ont cédé. Cette fois, je veux t'entendre gémir, souffrir, supplier, implorer Ma clémence... et sois certain que je ne serai pas facile à convaincre ! Il en faut beaucoup pour Me convaincre, Moi Miss Caty, conclut-elle en me crachant à la figure...

Cette fois, j'entendais donc Sa Voix qui malgré son jeune âge était dure et affirmée. Son crachat coulait sur ma joue alors que ses ongles griffaient ma poitrine, mon ventre si cruellement que je finis par laisser échapper un léger râle... qui sembla lui plaire tant qu'elle s'y remit, mais cette fois à deux mains tout en me recrachant de nouveau sur le coin de l’oeil... Un jeune Homme vint La rejoindre, lui demandant si elle était satisfaite de mon attitude. D'un élégant mouvement de tête, elle lui montra ma poitrine striée et longues traînées rouges.


- J'ai envie de le voir souffrir, ce chien, dit-Elle. Je ne sais pas pourquoi celui-là en particulier, mais cela M'excite. Regarde-le comme il bande ! Lui aussi ça l’excite, ce clébard ! Occupe t'en pendant que je vais chercher quelques accessoires.

Et Miss Caty me lança un dernier crachat bien fourni et s'éloigna sans en dire plus, me laissant entre les mains du jeune homme qui d'une tape sur la nuque m'intima l'ordre de me pencher en avant. Ecartant mes cuisses, et sans aucun préambule, il poussa un doigt inquisiteur dans mon anus, puis deux... Seule son autre et puissante main, tenant ma hanche me maintenait debout penchant en avant. Puis une volée de fessées fusa sans ménagement quand défaisant rapidement son pantalon, il sortit son sexe d’une raideur déjà fort imposante. Je sentis alors sa grosse et épaisse verge tendue et ferme frotter contre mes fesses. Ce jeune homme était pourvu d'un sexe imposant et bien que mon cul soit désormais habitué, je poussai un cri étouffé lorsqu'Il me posséda l’anus d'un coup sec pour me prendre le cul, s'enfonçant sans ménagement jusqu’à la garde. Je le sentis de suite encombrer entièrement mon fondement par ce volumineux Chibre en moi. Ainsi planté immobile jusqu’au fond de mon cul, il resta un long moment en coït anal, savourant ainsi sa prise de possession de mon corps servile et docile. Sans bouger, il me fessa de nouveau son Vit fixé au fond de mes entrailles, tout en m’insultant de mille noms humiliants. Puis imprimant un va-et-vient rapide il décida de bouger ses reins en m'enculant avec vigueur tout en reprenant ses fessées cinglantes. Sous les coups de boutoir, je sentais ses couilles frapper contre mes fesses, je vacillais et seule sa Verge en moi me tenait en équilibre…

Miss Caty, la jeune Domina revint vers nous, accompagnée cette fois du Maître en personne, Monsieur Le Marquis Edouard d'Evans... Celui-ci observait la scène de Son esclave ainsi possédé, enculé. Sa Seule Présence, Son Regard Dominant posé sur moi me galvanisait.
Pour Le Maître, je me devais d'être absolument irréprochable, même si dans ma "position", je ne pouvais guère faire plus que de me laisser prendre, de me laisser mener tel un pantin désarticulé, que Seule La Volonté d'un manipulateur peut agiter, comme le faisait en cet instant le jeune Maître qui m'enculait si profond et si vigoureusement de son phallus si énorme !

- Utilisez bien ce chien, Mes amis, lança Le Maître aux deux jeunes Gens. Il m'appartient, mais doit aussi apprendre qu'il ne m'est rien d'autre qu'un vulgaire instrument dont je pourrai me lasser s'il venait à me décevoir. Usez, z de cette chose de chair, autant qu'il Vous plaira, quant à Moi, j'ai mieux à faire... dit Le Maitre avant de s'éloigner et de m'abandonner aux deux jeunes Gens.

Le jeune homme accéléra alors sa saillie et c’est dans de magistrales et puissantes poussées viriles qu’il se mit à jouir dans un long grognement de râles éjectant sa semence en flots saccadés puis il se retira de mon cul tout en me tenant encore par les cheveux après être resté de longues minutes en de nouveau en coït immobile. E je reçus deux claques magistrales de Miss Caty quand elle empoigna à son tour mes cheveux pour que je vienne lui lécher son sexe alors que de son autre main, elle leva sa courte jupe noir… Je me mis alors à passer ma langue sur ses lèvres intimes et son clitoris, alors qu’elle me saisit ma nuque pour me plaquer contre son pubis. Je pensais mettre du temps à lui donner du plaisir, mais je fus surpris qu’en moins de quelques minutes, elle serra plus fort sa poigne derrière ma tête contre elle et se mit à m’envoyer son éjaculat dans un flot de cyprine sur mon visage tout en ne retenant nullement ses cris orgasmiques qui fusèrent parmi d’autres cris de jouissance dans cette vaste salle de bal…

Puis Miss Caty se recula et me regarda une seconde ou deux et subitement, elle gifla de nouveau malgré que je venais de lui donner du plaisir. Je vis alors qu'elle tenait un étrange instrument, tel que je n'en avais jamais vu.
En plastique semblait-il, avec un manche noir et une tige rouge dépassant de là. Je ne tardais pas à découvrir de quoi il s'agissait. Lorsque la Demoiselle le tendit vers mes couilles et que je ressentis une brève mais intense décharge électrique qui me fit couiner et sursauter... Un taser ! La jeune Dominante s'amusait ainsi à toucher du bout de son engin, diverses parties de mon corps, me contraignant à sursauter tandis que le jeune homme m'entraînait à travers la salle... La brûlure que je ressentais à chaque contact m'infligeait un choc qui entraînait un brève mais vive douleur me faisant sursauter. Je dus ainsi aller et venir à travers la pièce, où les esclaves subissaient les plus divers assauts orgiaques...

Enfin, le supplice se termina. Je tremblais comme une feuille emportée par le vent mais encore une autre et ferme paire de gifles toujours donnée par la jeune Demoiselle me ramena sèchement à mon instinct servile et je m'immobilisai à nouveau. Au mur, près duquel nous avions stoppé étaient fixés deux anneaux. On me fit m'agenouiller et mes poignets furent fixés à ces anneaux scellés. Ainsi crucifié, Miss Caty me débarrassa du mors mais pour le remplacer immédiatement par un ouvre-bouche de métal fixé à ma tête par une sangle de cuir. Le jeune compagnon de La Dominante fut ainsi le premier à fourrer Son Pénis dans ma bouche largement offerte jusqu'à inonder ma gorge de Sa Semence chaude et salé après avoir outrageusement abusé de ma cavité buccale sans modération et longuement... Tandis qu'il gagnait d'autres endroits de la salle, la jeune Demoiselle demeurait à côté interpellant ses amis Dominants et Leur proposant de venir à Leur tour se vider en moi. Et Ils furent nombreux à répondre à Son invitation emplissant ainsi ma bouche et ma gorge durant ce qui me sembla des heures... Je subis ainsi une espèce de gang band à la spécialité buccale où ma bouche leur servait de déversoir à leur vider les couilles

J'ignore le temps qui passa ainsi. Mais le jour se levait lorsque le rythme se ralentit enfin... Miss Caty était restée tout du long, agrémentant la jouissance des Supérieurs de commentaires moqueurs à mon égard, soulignant en particulier ma salive dégoulinante mêlée aux nombreux spermes ayant si abondamment empli ma bouche béante. Elle me détacha des anneaux et je me répandis sur le sol, la position imposée durant des heures ayant affaibli mes muscles. La jeune Dominante me donna quelques coups de pieds afin que je me reprenne et me tienne à quatre pattes.

- Bien... Nous allons maintenant rejoindre Le Maitre dont tu es la propriété, je crois qu'Il a une surprise pour toi.

C'était Noël après tout ! …

(A suivre …)

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